- A posteriori d’un calcul hédoniste, l’individu idéalisera alors une sorte de paroxysme du bonheur outillé de la science - Processus intégralement individuel, et à l’évidence aussi subjectivement que cela se produise, la communauté qui se compose effectivement de ces membres, ne parvient toujours pas et ce malgré ses 2011 ans d’expérience spirituelle et intellectuelle, à agréger le paradigme implacable de ces* textes religieux pourtant si preux et dépourvu d’un manque d’idéal. Bien qu’elle s’efforce d’étendre cette sainteté via des instituions religieuses, elle ne fait que sombrer dans le déclin sans même en avoir conscience, sans même faire part d’un brin d’honnêteté. Ces paroles ne constitue je crois, qu’une simple feuille morte parmi leur honorable fruitier. Après tant de sang, de sueur, de combats, de luttes, de dramatique, de désespérant, l’homme ne s’accommode toujours pas l’altruisme optimal dont un monde à besoin. L’idéalisme d’aujourd’hui n’est en rien le produit de ce qu’attendent les références plus tôt citées. Voilà de quoi créer des prosaïques dans un monde où le bonheur peut se trouver à porter de main. La chrématistique d’Aristote est équivoque au simulacre que se donne le bonheur des temps modernes, et, la vertu de ce qu’il semble être ressenti aujourd’hui, n’est que vulgarité et extrémité*. A fortiori, quand bien même ces paroles en apparences prêcheuses ne sont que le fruit de ma réflexion, elles ne sont sans nuls doutes qu’en marge de ce qui se fait aujourd’hui, dans notre époque. Cette calembredaine qu’est le monde de nos jours, est la conséquence même d’une évolution déboussolée. La richesse autant que la pauvreté est à même de nous faire perdre la tête. L’abondance est source de cupidité, la disette se veut haineuse puis amnésique. De sorte que, naturellement, ces deux extrêmes entrent en opposition et en compétition, par les moyens du capitalisme, le peuple s’entrechoque par le vecteur concurrence parfaite. Aux antipodes du juste et de l’acceptable, je ne peux que délivrer une opiniâtre opinion de ce que je vois et entends. Partout que de rustres discours, au fond insultant et à la forme envoutante. Partout que de belles paroles à l’allure fière et à l’éloquence infléchissable. Toujours aux approches des élections, ce que j’appellerai le printemps des cols blancs, est l’époque ou leurs germes donnent naissance au dessein d’une idée fleurissante, et au premier plan on ne voit plus que la sublimation de leur bastion. Quand l’hypocrisie atteint son paroxysme, on veut nous faire croire que nous sommes la cause de tout ce fanatisme.
Les relations sociales et simplement humaines qui nous tiennent en coordination n’ont pas été l’objet centrale d’étude de notre politique, laissant ainsi libre jeu entre sauvagerie et hostilité, bien que nous soyons l’être le plus doué intellectuellement. En pensant que la simple évanescence d’une génération à l’autre, permet à travers les dégâts du temps d’occulter tous les ressentis d’injustice, toutes les dérives sociales et financières, jusqu’à se persuader par nous même du caractère dogmatique de ce phénomène temporel, les politiques et tout autre institution spécialisée dans l’analyse comportementale s’accaparent alors une légitimité arbitraire fait de tromperie et de simulacre. Sans même penser que ce que nous croyons être naturel, est le fruit de l’homme trempé de cupidité et la démonstration même du phénomène d’insatiabilité, le tout couplée d’une humeur encline et avide de pouvoir. Tromper la mémoire du peuple en prônant une idéologie nouvelle, sans que celle-ci ne fasse réellement preuve de ses aptitudes à l’égard de la majorité est une insulte à tout principe sociale et à toute vertu éthique quelle qu’elle soit. Seuls les grands de ce monde y voient un intérêt certain et lucratif. Pour ce monde seul l’équilibre de Pareto est prédéterminant à leurs décisions. Cette idéologie en question se prénomme aujourd’hui capitalisme.
Lourd et abusif, telle est la conception du texte et telle est la conception de ce que décrit le texte.