D'abord, le décors du poème m'a fait pensé au début de la Zone du dehors.
Puis je m'y suis plongé plus sérieusement, me sentant concerné par les mots, et je l'ai vu partir, la silhouette, et je l'ai vu rentrer, l'obscurité glaciale.
Mais la fin m'a laissé un peu sur ma faim, j'aurais voulu que tu développe encore. Mais peut-être que tu n'avais plus rien à dire. De mon côté, j'ai presque l'impression que j'ai quelque chose à rajouter. Mais rien. Comme quand ou ouvre la bouche et qu'on la referme aussitôt, sans émettre aucun son.
Techniquement, je n'ajouterai rien.
(En fin de compte, je m'inscrirais plus tard, j'ai le temps)