Dieu a un gout de citron

Eboulez moi de vos escueils ennistoilés
Valsez l'Ospleen aux estrières,
Voileurs onstaliques, solvez la brume !
Réinventez mon aljouvance à contresens.


Alors que j'atteignais l'Orifîme
Je découvrais des soleils octagénaires
Que d'ingénieux ingénieurs observaient de loin
Pour ne point risquer l'escouafflement.
Au milieu de leurs dialogantes astronambules
Je distinguais un olvideur prêcheur à l'au-de-vie
Il marmachait d'interminables discours
En agitant son ivine alvérole:

« Sans le foie l'Ôm n'est qu'un mauvais crustacé,
Alors aimez mieux, aimez Dieu, avec ou sans citron !»







Comme dirait Liam: lynchez moi à coup de tomates déifiées !

Joli, joli. (Je prendrai le temps de commenter plus tard)

Amusant !

Citation :

Eboulez moi de vos escueils ennistoilés
Valsez l'Ospleen aux estrières,
Voileurs onstaliques, solvez la brume !
Réinventez mon aljouvance à contresens.

J'aime ça, c'est une entrée en matière très dynamique et parlant !
Tes mot-valises sont réussis.

Citation :

Alors que j'atteignais l'Orifîme

J'y voyais l'oriflamme t'y voyais l'orifice, mais en tout cas, ce mot à de la gueule !
Je n'ai pas grand chose d'autre à dire. Je suis fan.
Tu as fais quelque-chose de franceparure qui clindonne très bien à mes stinouffles !

Et ta fin est, comme dirait Mario : Amusante !
Elle me semble très rabelaisienne et me fait penser à ce proverbe "La chèvre est une vrai menace ; il n'y pas qu'au four qu'elle est coriace !" dont j'ai oublié l'auteur.

un certain fou^^

(Tu penses que c'est lui qui l'avait inventé en direct ? ^^ Il devait le tenir de quelque-part non ?! Si tu le revois tu lui demande !)

un sketch des inconnu il me semble...