Récit d'un de mes derniers rêves, dysfonctionnisé avec google traduction à coup de latin, de chinois et d’interprétation.
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Ce soir-là, j'ai cueilli un rêve des plus océaniques.
Et cette nuit-là, j'ai ramassé le rêve de la mer.
Les lumières y étaient ensemble
Une danse.
Et les lumières sont toujours là
Dans le dancing.
Une danse dont un jeune homme était coupable
Car il est un jeune homme à la danse coupable
Qui changeait de couleur
Car, oui, la couleur change.
Profitant de tout son enthousiasme
Il embrassait toutes ses passions.
Alors, je me suis enfermé
Donc, je me suis enfermé
À la fin ou au plus étroit
De ma chambres à coucher
En allant droit au lit,
Directement,
Et sur le dos,
Puis j'ai pleuré quelques larmes.
A travers elles, j'ai vu des fenêtres de lumières électriques
— Sans tube —
Grâce à elles, j'ai vu la fenêtre de la lampe
— Pas de tube —
Ces fenêtres étaient mêlées à ma liqueur de larmes en pleurs,
Et en onze minutes, j'inondai mon visage.
Mes joues criaient :
Trop de sel ! Trop de sel !
Trop de sel. Sans façon.
Puis, à travers elles,
Encore,
Ou malgré cela, je ne sais plus,
J'ai vu de grandes fausses personnes regarder mon ombre,
Grossière erreur.
Je leur ai parlé, je les ai entendu parler,
Mais rien ne pouvait me consoler.
Car, en plein dans le cœur, dans ma tête,
La douleur, la tristesse et la nostalgie sont,
Restent ou pourtant, je ne sais plus,
Demeurent,
Et demeureront lourdes
En maintenant leur poids.
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Liam Greish'up. J'ai la nostalgie des tomates en dysfonctionnement.